Le Comité se fait connaître: Doris Gerber

De Doris Gerber

Si je suis devenue membre d’Actares, c’est dû à mon intérêt pour l’économie en général. Il y a quelques années, j’ai été active dans le groupe Communication, car je pouvais me rendre utile, en raison de mon activité professionnelle antérieure et de mon expérience comme parlementaire cantonale.

L’économie et la politique s’influencent réciproquement. Pour moi, il est important que les relations entre ces deux entités soient bien réglées dans notre Etat. Si elle veut avoir du succès et assurer notre bien-être, l’économie suisse doit être flexible et innovatrice. Elle doit élaborer et produire de nouveaux produits, et pour ce faire s’appuyer sur l’expertise de nos universités. L’économie suisse ne peut pas fonctionner en circuit fermé, mais est responsable vis-à-vis de ses employés, de la population et de l’Etat.

Il reste beaucoup à faire
Actares donne à des actionnaires modestes (comme moi) la possibilité de s’exprimer, et d’exercer une influence en faveur de la pratique des affaires correcte de «notre» entreprise. Heureusement, ces dernières années, une pression a pu être exercée pour qu’il y ait plus de femmes dans les Conseils d’administration et au niveau des Directions. Aujourd’hui, on discute enfin ouvertement des rémunérations exorbitantes dans les étages supérieurs des firmes. Actares va persévérer - et j’essaie d’apporter ma contribution.